Avec ou sans bruits parasites

"Un réseau de plus en plus serré de distractions et d’occupations vaines"

Étiquette : Productivité (page 1 of 2)

Productivité ?

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Mogore attire notre attention sur le changement de ton du blog 43folders . Ces réflexions me rappellent ce que je pense à chaque fois que je vois la liste interminable des blogs taggés ‘productivity’ dans mon agrégateur RSS (dont 43f fit partie, naturellement) et ces moments où je lis des blogs sur la productivité pour ne pas faire ce que je devrais faire…

Elles me font aussi penser à mes débuts avec la méthode GTD : confiant dans mon système et excité par la nouveauté de la méthode, je consignais toutes mes tâches à faire et ne faisais rien… à part des ‘reviews’ et des améliorations à ce système… C’est sans doute une réaction naturelle face à la nouveauté : quand j’ai un nouveau téléphone, je passe beaucoup de temps à lire la documentation, à changer des options… avant de recommencer à ne plus savoir faire les opérations élémentaires qui font son originalité et à me contenter de téléphoner bêtement…

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Numérisation de documents

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Je viens de commencer à numériser mon mémoire de maîtrise. C’était une idée que j’avais depuis longtemps, que je suis en train de mettre en oeuvre ; il y a des périodes dans la vie où l’on est plus enclin aux comportements néoténiques…

J’ai d’abord longuement séparé les feuilles d’un exemplaire de mon mémoire. Je suppose qu’il est possible d’utiliser un gros massicot pour faire un tel travail, mais n’en disposant pas, je me suis résolu à employer une règle plate en guise de coupe-papier.

L’étape suivante consistait à numériser les pages ainsi séparées. A ce point, j’ai été surpris : je m’attendais à un travail difficile, fastidieux et il n’en a rien été. Je pensais que le chargeur du scanner allait mal fonctionner, provoquer des bourrages sans nombre etc. mais cela ne s’est pas produit ; seule une page, que j’avais malencontreusement froissée pendant le transport, n’a pas pu passer automatiquement. En outre, ce traitement a été très rapide : il ne m’a guère fallu plus d’une demi-heure (en plusieurs fois) pour numériser l’ensemble des 240 pages du document.

Le “pilotage” du scanner était assuré par le logiciel XnView qui possède une fonction “Acquérir dans…” qui permet de scanner un ensemble de pages, en les numérotant et en les enregistrant automatiquement.

Cette rapidité de la numérisation a perturbé le processus de travail que j’avais envisagé : je pensais ne pouvoir numériser que 10 ou 15 pages par jour (je précise que je ne travaille pas à temps plein sur ce projet… j’exerce également une activité salariée ;-) Mon plan était donc de passer 15-20 minutes entre midi et 14 h pour numériser le document et 1 h ou 1 h 30 le soir pour faire la reconnaissance de caractères) que je pourrais, dans la soirée du même jour, transformer en texte (OCR et corrections manuelles). En réalité, au bout de deux jours l’ensemble était numérisé, mais il faut plus d’1 h 30 pour corriger 10-15 pages…

J’ai fait différents tests pour trouver le logiciel d’OCR le plus adapté et je dois dire que j’ai été déçu. Ma première idée était d’utiliser une ancienne version d’Omnipage Pro que j’avais eu jadis avec un scanner, mais comme l’ordinateur que j’utilise le plus est désormais sous Linux et que ce système m’est plus familier, j’ai cherché s’il n’y avait pas moyen de faire plutôt la reconnaissance de caractères avec lui. J’ai découvert cette page et ai testé plusieurs des logiciels qui y sont mentionnés. Ceux qui m’ont donné le plus de satisfaction sont Tesseract et Ocropus (qui dans son état actuel est une sorte de surcouche de Tesseract). Toutefois, aucun des deux n’est capable de restituer les caractères accentués, ce qui peut être rapidement fastidieux pour un texte en français. Au final, j’ai pris la résolution d’utiliser Omnipage, qui est celui qui donne les meilleurs résultats et j’ai ainsi “OCRisé” une vingtaine de pages, en utilisant la vérification interactive du logiciel, puis en reprenant les documents ainsi créés, en les regroupant logiquement et en les corrigeant dans OpenOffice.

Comme on peut s’y attendre, certains passages sont mal ou pas du tout reconnus par l’OCR, c’est le cas des passages en grec, c’est aussi le cas des chiffres (numéros de pages dans les références par exemple).

Pour fluidifier le processus et ne pas m’obliger à ne travailler à ce projet que quand je suis sur l’ordinateur sur lequel Omnipage est installé, j’ai “OCRisé” l’ensemble des pages et je vérifierai plus tard.

Je suis donc au tout début du travail d’édition de ce document. J’envisage de mettre en ligne une première version “image”, mais je ne sais pas si ça peut avoir un intérêt. En tout cas, je vous tiendrai au courant de l’évolution de ce projet et des raisons qui m’ont poussé à m’y lancer.

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Cheatsheet Symfony

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Créer un projet

– Créer répertoire

– Dans le répertoire, lancer :

symfony init-project nom_projet

– Dans ce répertoire, créer un fichier .htaccess :

php_value magic_quotes_gpc 0

– Donner au serveur apache la permission d’écrire dans le répertoire cache

– Il faut créer une application :

symfony init-app nom_app

– Création de la bdd

– Modifier fichier config/databases.yml en mettant les bonnes données pour la bdd :

dsn: mysql://symfony_user:symfony_password@localhost/symfony

et en enlevant les # en début de lignes.

– Modifier config/propel.ini

– Création du schéma de la base

symfony propel-build-schema

– Génération du modèle :

symfony propel-build-model

Faire en sorte que des noms signifiants apparaissent pour les objets correspondant à des clés externes

Il faut que la méthode toString() soit implémentée pour les classes concernées

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Google reader

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Avertissement préalable : ce billet, avec celui sur Writely (devenu depuis Google Docs), pourrait laisser penser à mes lecteurs que j’arrondis mes fins de mois grâce au soutien généreux de Google… Hélas, il n’en est rien…

Avertissement préalable 2 (à l’attention du service marketing de Google) : je suis disposé à étudier toutes les propositions… ;-)

Mes lecteurs fidèles et attentifs auront remarqué que depuis quelques jours, j’ai fait apparaître un encadré “Quelques articles intéressants” dans le menu de droite de ce blog.

Il s’agit d’un affichage des articles que j’ai choisi de partager dans les fils RSS que je lis avec Google Reader. En effet, j’utilise cet outil avec beaucoup de satisfaction depuis quelques semaines maintenant.

J’ai longtemps cherché un agrégateur RSS qui puisse me satisfaire, en ligne ou hors-ligne, mais finalement, j’ai dû me rendre à l’évidence que seul un outil en ligne me convenait : je peux ainsi lire mes fils de nouvelles de n’importe où, dès que j’ai un instant, et je n’ai pas à me préoccuper d’une synchronisation fastidieuse et chronophage.

Surtout, il y a dans cet outil une fonctionnalité dont je rêvais depuis longtemps, sans être capable de la décrire. En effet, j’ai toujours tendance, lorsque je lis mes fils RSS à vouloir éliminer les articles qui ne m’intéressent pas avant de lire ceux qui m’intéressent. Ce qui se passe en général c’est que quand j’ai ainsi éliminé l’inutile, je n’ai plus de temps à consacrer au reste. En effet, les innombrables clics et petites manipulations pour voir si un article est intéressant et pour le marquer comme lu devient vite long, quand ces opérations se cumulent sur plusieurs dizaines d’objets. Dans Google reader, il suffit de passer sur un objet, avec la molette de la souris ou avec les flèches du clavier, pour que cet objet soit marqué comme lu, ce qui n’empêche naturellement pas de changer manuellement son statut par la suite en cas de besoin. Je gagne ainsi un temps considérable !

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Pornographie et apprentissage des langues

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J’espère qu’on me pardonnera ce titre à la fois un peu ambigu et un peu racoleur…

Je viens de lire un article de Peter Johnson, intitulé Pornography Drives Technology: Why Not to Censor the Internet, dans lequel l’auteur explique en quoi la pornographie présente des avantages, et notamment celui de permettre un progrès technologique. Un bref historique montre comment la pornographie a toujours été associé aux progrès techniques.

Johnson évoque plusieurs avantages de la pornographie :

  • le milieu du porno est à la recherche de solutions nouvelles, peu coûteuses et rapidement rentables ;
  • la pornographie stimule la curiosité technique des utilisateurs en les incitant à utiliser davantage les outils utilisés comme média : “Les jeunes hommes amateurs de gadgets et fous de filles resteront plus longtemps devant un terminal qui leur apporte des à la fois des filles et des gadgets” ;
  • la crainte que les enfants n’accèdent à des contenus indécents incite les parents à acquérir des connaissances informatiques pour éviter que leurs enfants plus compétents ne puissent les tromper. Si le Congrès assume ce rôle parental, les parents seront encouragés à négliger cette remise à niveau ;
  • la pornographie sur ordinateur est moins nuisible que la pornographie télévisée.

Je pense que la perspective d’ensemble est assez juste, même si je ne suis pas forcément d’accord avec tous les arguments donnés. Surtout, il me semble que certaines de ces idées peuvent être transposées sur un autre plan.

Je suis, à ce point, dans l’obligation de demander à mes lecteurs de pardonner un bref paragraphe autobiographique nécessaire à une bonne compréhension de la suite de ce billet.

Depuis cet été, je travaille à l’Agence du Numérique du conseil général des Pyrénées Atlantiques qui développe, en partenariat avec l’Education nationale, un projet appelé e-espagnol dont l’objectif est de promouvoir l’utilisation de l’audio pour l’apprentissage de l’espagnol. Un axe important de ce projet est la distribution de baladeurs MP3 aux élèves des établissements impliqués, afin qu’ils puissent écouter hors de la classe des documents sonores mis à leur disposition par leurs enseignants.

Plusieurs enseignants ont manifesté la crainte que les élèves n’utilisent le baladeurs pour autre chose que pour des activités scolaires. Bien sûr, il n’est pas ici question de pornographie, mais simplement de contenus moins sérieux, plus frivoles, moins contrôlés que les documents donnés par les professeurs. Cependant, certains des mécanismes décrits par Johnson me paraissent intervenir.

Ainsi, la possibilité pour les élèves d’utiliser les baladeurs pour écouter leur propre musique (de préférence désapprouvée par le professeur) les pousse à manipuler davantage cet appareil et par conséquent à l’utiliser avec plus d’efficacité. D’autre part, désireux de ne pas être dupes et de pouvoir, les enseignants sont très enthousiastes pour apprendre à travailler avec ce matériel, alors qu’ils n’auraient peut-être pas eu le même goût s’ils n’avaient pas cette crainte des usages inappropriés. D’ailleurs, certains parmi ces enseignants n’ont jamais déployé autant d’efforts pour maîtriser les magnétophones ou les lecteurs CD qu’ils utilisaient auparavant, parce que cet outil ne présentait pas ce ‘risque’.

Finalement, peut-être que la difficulté, le risque, sont, contrairement à ce qu’on pourrait penser, des paramètres qui favorisent le développement des pratiques pédagogiques innovantes…

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Pourquoi tous les enseignants devraient utiliser Writely

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Comme beaucoup de ceux qui s’intéressent au web 2.0, je suis avec curiosité l’actualité de la société 37signals, connue entre autres choses pour avoir créé le framework Ruby On Rails ou l’application en ligne de gestion de projet Basecamp. Je n’ai pas toujours l’usage pour les applications qu’ils diffusent, mais elles montrent souven des concepts ou des méthodologies à la pointe dans le domaine de la création d’applications web. Surtout, cette équipe insiste sur la simplicité et le dépouillement des interfaces et des fonctionnalités, qui paraît être une tendance essentielle de la société actuelle (disons de la société de l’information).

J’ai ainsi été amené à essayer le programme Writeboard pour travailler à plusieurs sur des documents. L’interface est très simple, permettant de faire toutes les manipulations indispensables sur un texte. L’intérêt essentiel, pour moi, était qu’ainsi il est possible de comparer différentes versions du texte, mais aussi qu’il est accessible de n’importe quel ordinateur connecté à internet. Je me trompais sur ce dernier point : l’authentification pour l’accès à ce service se fait une URL compliquée, associée à un mot de passe (partagé par tous les utilisateurs qui ont accès à ce document). Cette méthode relève de la même approche de simplification des interfaces utilisateurs.

La réalité est que lorsque je veux accéder à un document depuis un autre ordinateur que le mien, je ne me souviens pas de l’URL, que je n’ai que dans un mail dans Thunderbird… Bien sûr, je peux transmettre ce message sur mon Gmail… mais je n’y pense pas toujours et l’adresse est différente pour chaque document… Au final, j’ai purement et simplement renoncé à utiliser ce service.

Ensuite, je me suis tourné vers Writely dont l’ambition n’est pas exactement la même (Writely se veut un traitement de texte en ligne). Pour ce qui concerne l’accès, tout est beaucoup plus conventionnel : je vais sur www.writely.com, j’ouvre une session avec un login et un mot de passe, et là je vois une liste de tous mes documents. Comme je me souviens du nom « writely » et que je me souviens assez bien du mien, je suis en mesure d’accéder à n’importe lequel de mes documents de n’importe où ; ce qui est un avantage important (c’est cette fonctionnalité que je recherchais surtout).

Ensuite, je me suis rendu compte que cette application répond à un certain nombre de besoins que j’ai pu avoir ou qu’avaient des collègues que j’ai rencontrés ici ou là.

La première fonctionnalité importante à cet égard est l’import/export depuis et vers la plupart des formats de traitements de texte courants. C’est très utile lorsqu’on reçoit un fichier qu’on ne peut pas ouvrir. Contrairement à ce que l’on dit souvent dans la communauté du logiciel libre, ce problème ne se pose que rarement avec les fichiers Word, quand on n’a qu’Open Office, puisqu’OOo ouvre bien les fichiers .doc ; en revanche, lorsqu’on a un fichier OO sur laquelle seul MS Word est installé (voire, horresco referens, MS Works), le problème est insoluble : on peut naturellement installer OOo, mais il n’est guère possible de télécharger la petite centaine de mégaoctets qu’il représente avec une connexion RTC (qui sont encore courantes dans beaucoup d’écoles primaires) ou même quand on n’a que quelques minutes devant soi. Avec Writely, il suffit de téléverser le fichier et de l’exporter vers un format utilisable !

Une autre utilisation, dans le même ordre d’idées : les enseignants sont souvent soucieux de donner à leurs élèves des documents dans un format standard : le PDF est bien adapté pour cela. Bien sûr OOo permet de créer des PDF, mais il ne faut pas sous-estimer le fait que certains collègues ne savent simplement pas installer un logiciel sur leur ordinateur personnel, sans même parler des politiques de sécurité locales qui n’autorisent pas forcément l’installation de nouvelles applications sur les machines d’un établissement. Writely est là pour eux ! Parmi les formats disponibles pour l’exportation figure le PDF. Il faut préciser que cette fonctionnalité va sans doute devenir payante quand l’application ne sera plus en bêta (c’est du moins ce qui était indiqué il y a quelque temps, avant le rachat de Writely par Google… Est-ce un changement de stratégie ?).

Si l’on ajoute à tout cela la possibilité de travailler à plusieurs (avec notamment une fonctionnalité qui permet d’être informé en temps réel lorsqu’un autre utilisateur modifie le même document en même temps), évidemment la gestion simple des différentes versions et les nombreuses (toujours trop) possibilités de mise en forme de texte, la possibilité de générer une page web et même d’écrire directement sur un blog, je crois que tous les enseignants devraient au poins se poser la question de l’utilisation de ce service.

Si les créateurs de cet outil ne changent pas leur plans dans l’avenir, leur intention est de fournir gratuitement un ensemble assez conséquent de services de base et de permettre aux utilisateurs d’accéder à des fonctionnalités avancées moyennant un abonnement. Ce projet devrait assurer une assez bonne pérennité.

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Cheatsheet pour Subversion

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Quelques commandes dont je veux me souvenir pour subversion.

Ignorer

Je veux ignorer tous les fichiers créés dans .lockfiles :

$ svn propedit svn:ignore .lockfiles

Un éditeur de texte s’ouvre dans lequel je peux écrire des motifs de noms de fichiers, par exemple “*”

Gérer des fichier provenant d’un fournisseur tiers

http://svnbook.red-bean.com/en/1.1/ch07s05.html

Evidemment, il y aussi mes liens del.icio.us sur subversion

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Du nouveau pour del.icio.us

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L’équipe de del.icio.us vient d’annoncer sur son blog la disponibilité d’une extension del.icio.us officielle pour Firefox. Je me suis jeté dessus et effectivement, depuis ce matin, j’ai posté quelques liens en utilisant cet outil (non sans avoir à plusieurs reprises dû cliquer sur le bouton ‘Précédent’ de mon navigateur parce que j’avais machinalement cliqué sur mon ancien bookmarklet) et il apporte un confort certain.

Il n’y a qu’un détail qui m’ennuie un peu : j’avais l’habitude de regarder dans l’historique d’un onglet avant de le fermer pour m’assurer que je l’avais bien enregistré dans del.icio.us (le cas échéant) ; l’ouverture d’une nouvelle fenêtre va m’interdire cette méthode… je ne sais pas comment je vais le vivre… ;-)

Toujours au sujet de del.icio.us, j’ai également vu les remarques très intéressantes de Sylvie Le Bars dans un billet au titre éloquent : Pour que del.icio.us ne devienne pas le cimetière de vos signets.

Ce billet évoque un certain nombre de petites questions auxquelles je pense aussi :

– j’utilise fréquemment le tag ‘toread’ pour me souvenir que je dois lire quelque chose, qui correspond aux signets en attente de Sylvie Le Bars. Cependant, lorsque je le lis le document en question, je ne pense pas toujours à enlever le tag dans del.icio.us… Du coup, j’ai beaucoup de pages marquées ‘toread’ et quand j’ai 5 minutes pour lire un document, je suis obligé de passer 5 minutes à trier au lieu de lire… -( J’envisage donc (depuis que j’ai commencé à mettre les doigts dans les bibliothèques Python et Ruby pour accéder à l’API de del.icio.us j’envisage d’écrire un petit script qui me présenterait chaque semaine la liste de mes liens ‘toread’ et me permettrait de sélectionner ceux que j’ai lus pour enlever automatiquement ce tag.

– Sylvie Le Bars dit aussi qu’elle utilise le champ ‘Notes’ de del.icio.us pour écrire où elle a trouvé le lien vers une page. C’est un usage qui me paraît intéressant et auquel je pensais aussi. J’ai même envisagé d’utiliser deux ou trois balises dans ce champ, que je pourrais analyser dans mon script qui poste mes liens sur mon blog de façon à générer des liens.

En tout cas, je suis heureux de voir que d’autres se posent les mêmes questions que moi : c’est aussi le cas de Richard MacManus qui en outre pose la question de savoir s’il est plus intéressant de s’abonner au blog de quelqu’un ou à ses signets. Il parle aussi du champ de notes de del.icio.us (qui a été sensiblement agrandi depuis le jour où j’ai commencé à l’utiliser) en le considérant comme le moyen de faire de del.icio.us un mini-blog.

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Robots de podcasting

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Je passe beaucoup de temps en voiture et, depuis longtemps, je cherche une solution pour pouvoir utiliser le temps de mes déplacements à apprendre des choses. J’avais même commencé à écrire quelques scripts pour récupérer du texte sur le web et le passer à un service de synthèse vocale… J’avais rencontré deux obstacles dans cette démarche : ce service (dont j’ai oublié le nom) était un site de promotion pour un logiciel commercial et il n’était donc possible que de passer une quantité limitée de texte (une trentaine de mots, me semble-t-il), il fallait donc découper le texte original en tronçons de cette longueur, en essayant de respecter la ponctuation pour éviter que le texte lu ne soit incompréhensible ; surtout, je n’ai pas de baladeur MP3… (oui je sais c’est ridicule…) et j’en étais donc arrivé à imaginer un système compliquer pour graver des CD automatiquement dans la nuit… Solution qui ne fonctionne que si l’on songe à mettre un CD vierge dans le graveur avant d’aller se coucher… -(

En tout cas, tout cela appartient au passé, j’ai trouvé, par l’intermédiaire de Richard MacManus deux services répondent à ce besoin (je ne les ai pas encore essayés) : Botcast ‘lit’ un certain nombre de sources d’informations prédéfinies : blogs, site de journaux, livres etc. et Talkr permet de saisir l’adresse d’un fil RSS qui sera transformé en podcast.

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Utiliser VUE sous Linux

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VUE est une application open source de concept mapping créé à l’université de Tufts. Sa principale originalité repose dans le fait qu’elle peut être connectée à un dépôt de données, qui peuvent facilement être utilisées dans les cartes réalisées. Plus simplement, ce que j’aime avec ce programme, c’est qu’il me permet de faire des concept maps et des diagrammes simplement.
VUE

Pendant longtemps, seule une version Windows avec une machine java embarquée était disponible en téléchargement. Pourtant, j’avais connu ce programme lors d’un colloque sur le elearning organisé en Italie et je l’avais vu tourner sur un Mac…

Bien sûr, comme il s’agit d’un programme open source et que c’est du Java, il était possible de l’utiliser sous Linux avec un minimum de bricolage. Depuis peu, une version Mac est disponible et il est très facile de la faire fonctionner sur un Linux. Voici la démarche que j’ai suivie :

– Télécharger le zip de la version Mac ; pour ce faire, il faut être inscrit.

– Dézipper le paquet (je l’ai mis dans /usr/local/vue)

– Il suffit alors de lancer le fichier jar /usr/local/vue/VUE.app/Contents/VUE.jar avec la commande :

java -jar /usr/local/vue/VUE.app/Contents/VUE.jar

Ca y est, normalement vue fonctionne !

Il reste cependant quelques petites choses à améliorer.

Par exemple, il faut pouvoir utiliser une commande plus pratique pour le lancer. Je crée donc un script bash, que je place dans /usr/local/bin (ce répertoire est dans mon chemin d’exécution ($PATH) par défaut) et que j’appelle vue, simplement.

Ce fichier contient seulement les deux lignes suivantes :

#! /bin/bash
java -jar /usr/local/vue/VUE.app/Contents/VUE.jar

Dès lors, je peux lancer le programme en saisissant simplement vue dans un terminal.

Par ailleurs, je remarque très vite que l’ouverture des url ne fonctionne pas. Un petit coup d’oeil sur les messages d’erreur (assez verbeux, heureusement) affichés sur le terminal m’indique que celui-ci essaie d’invoquer la commande netscape pour ouvrir ces liens… Je fais un premier test en créant un lien symbolique vers /usr/bin/firefox, que j’appelle /usr/local/bin/netscape. Ca fonctionne, mais je rencontre tout de même un petit problème : Firefox refuse de se lancer si une autre instance est en cours d’exécution avec le même profil ; et il est rarissime que je n’ai pas déjà un Firefox ouvert.

J’en suis donc quitte pour lire un (tout) petit peu de doc sur Firefox, pour trouver l’option -remote qui permet de passer une commande à une instance de Firefox en cours d’exécution. Je supprime donc mon lien /usr/local/bin/netscape et je le remplace par un script ainsi formulé :

#! /bin/bash
/usr/bin/firefox -remote "openurl($*), new-tab"

Ce qui a pour effet d’ouvrir l’url passée en paramètre ($*) dans un nouvel onglet du Firefox courant en invocant la commande openurl().

Après cela, j’ai l’impression que tout fonctionne normalement, mais n’hésitez pas à me signaler si vous remarquez une fonctionnalité inactive.

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